I.A. : l’être humain maître du jeu
Intelligence artificielle : l’être humain, maître du jeu Et si une machine autonome réalisait avec rigueur, justesse et célérité, les tâches quotidiennes fastidieuses qui relèvent encore d’une intervention humaine ?Et si la machine apprenait de ses propres erreurs et s’adaptait durable...
Intelligence artificielle : l’être humain, maître du jeu
Et si une machine autonome réalisait avec rigueur, justesse et célérité, les tâches quotidiennes fastidieuses qui relèvent encore d’une intervention humaine ?
Et si la machine apprenait de ses propres erreurs et s’adaptait durablement à notre mode de vie ?
Qui serait le maître ?
Et si arrivait le moment où le R obot remplace l’Homme ?
Qu’on le sache ou non, qu’on le déplore ou non, la technologie recourant à l’Intelligence Artificielle (IA) est déjà à l’oeuvre et étend ses champs d’application à une vitesse inédite, grâce au développement de la puissance de calculs des algorithmes servant des ordinateurs de plus en plus performants. On ne peut déjà plus s’en passer.
Mais la machine se passera-t-elle un jour de nous ?
Cela dépend… de nous : de notre volonté de garder la main à travers une programmation maîtrisée. Facile à dire quand les chatbots des plateformes de e-commerce jouent désormais les assistants virtuels et rivalisent avec un opérateur téléphonique de chair et d’os.
Rivaliser, le bon mot ? En réalité, il convient plutôt de déterminer quel type de relation construire entre cerveaux et microprocesseurs. De fait, opposer Robot et Humain constituerait une erreur ; il ne s’agit pas de faire avec quelqu’un ou sans personne. Car si la technologie synthétise, analyse et exécute à la perfection, elle ne pense toujours pas, à proprement parler. À date, un robot ne sait pas qu’il en est un ! Bref, il ne conscientise pas.
D’ailleurs, voilà l’enjeu sociétal : La place de l’individu (qui sait en être un) dans le monde digital – donc déshumanisé au sens littéral – qu’il engendre.
Dès lors, une réflexion éthique s’impose quant au cadrage d’un progrès technologique par et pour l’être humain. D’où l’ouvrage que vous tenez en main.
Et si une machine autonome réalisait avec rigueur, justesse et célérité, les tâches quotidiennes fastidieuses qui relèvent encore d’une intervention humaine ?
Et si la machine apprenait de ses propres erreurs et s’adaptait durablement à notre mode de vie ?
Qui serait le maître ?
Et si arrivait le moment où le R obot remplace l’Homme ?
Qu’on le sache ou non, qu’on le déplore ou non, la technologie recourant à l’Intelligence Artificielle (IA) est déjà à l’oeuvre et étend ses champs d’application à une vitesse inédite, grâce au développement de la puissance de calculs des algorithmes servant des ordinateurs de plus en plus performants. On ne peut déjà plus s’en passer.
Mais la machine se passera-t-elle un jour de nous ?
Cela dépend… de nous : de notre volonté de garder la main à travers une programmation maîtrisée. Facile à dire quand les chatbots des plateformes de e-commerce jouent désormais les assistants virtuels et rivalisent avec un opérateur téléphonique de chair et d’os.
Rivaliser, le bon mot ? En réalité, il convient plutôt de déterminer quel type de relation construire entre cerveaux et microprocesseurs. De fait, opposer Robot et Humain constituerait une erreur ; il ne s’agit pas de faire avec quelqu’un ou sans personne. Car si la technologie synthétise, analyse et exécute à la perfection, elle ne pense toujours pas, à proprement parler. À date, un robot ne sait pas qu’il en est un ! Bref, il ne conscientise pas.
D’ailleurs, voilà l’enjeu sociétal : La place de l’individu (qui sait en être un) dans le monde digital – donc déshumanisé au sens littéral – qu’il engendre.
Dès lors, une réflexion éthique s’impose quant au cadrage d’un progrès technologique par et pour l’être humain. D’où l’ouvrage que vous tenez en main.